S’il y a bien un problème qu’on rencontre tous lorsque l’on ne se connaît pas suffisamment, c’est le fait de ne pas avoir conscience de notre puissance intérieure, ce qui nous conduit souvent à vivre le rêve de quelqu’un d’autre.
On court… on court… à la poursuite de tel objectif très souvent sans succès.
Une fois qu’il est atteint...
LE VIDE ABSOLU...
Un conseiller bancaire, en réalité, c’est un vendeur. Qui dit vendeur, dit objectif. Qui dit objectif, dit pression.
La pression je l’avais, mes objectifs étaient élevés, mais mes résultats, eux, étaient très bas.
Dans l’inconscient collectif, à qui ressemble le conseiller bancaire idéal ?
Sûrement pas à moi !!!
Il a fallu sortir les rames pour que je sois pris au sérieux. Je me suis battu pour devenir un bon conseiller bancaire.
A l’époque je me suis dit OK, ça ne sert à rien de lutter contre le vent, tu veux réussir, bosse 2 fois plus que les autres.
J’ai continué à me former sur le métier de la vente, je me suis entouré d’un mentor. Il s’appelait Jean-Marc, un très bon vendeur qui avait fait ses preuves.
Il m’a appris les ficelles du métier, les techniques qui fonctionnent et surtout il m’a fait vivre les expériences justes pour que je progresse.
Au bout d’un moment, je suis devenu très bon. J’ai fait partie du TOP 500 national, j’ai gagné de nombreux challenges.
J’avais ce qu’on pourrait appeler « une belle situation » : cadre dans une grande entreprise, un bureau personnel, un beau salaire, le respect de mes clients, je m'offrais de superbes vacances et ça sonnais bien lorsque je disais aux gens «je suis conseiller bancaire».